Le sumo ? Un des nombreux symboles du Japon, tout comme les geishas, le thé matcha ou le Mont Fuji ! Pour la petite touriste que je suis, approcher un rikishi, a.k.a un lutteur de sumo, faisait donc partie de mes incontournables avant de poser mes valises dans l’archipel nippon.
Problème de taille : en juillet, mois de mon séjour au Japon, l’ensemble des lutteurs prend la direction de Nagoya pour participer à un tournoi. Sans moi, donc, puisque mes vacances se sont partagées entre Tokyo et Kyoto.
Un peu déçue, je décide quand même de me rendre à Ryogoku, connu pour être le quartier du sumo, à Tokyo. Je visite le musée du sumo* mais reste sur ma faim. Le musée, dont l’entrée est gratuite, me paraît un peu austère. Peu de documents sont traduits en anglais et il n’y a personne pour répondre aux questions des visiteurs dans la salle que je visite. Cerise sur le gâteau : les photos sont interdites.